Les « effets secondaires » de l’accord judiciaire qui a libéré Julian Assange

Julian Assange a été libéré ces derniers jours, mais il semble que sa libération ait été accompagnée d’un revirement de situation. Selon les informations disponibles, WikiLeaks a supprimé certains documents publiés précédemment. Cette décision semble faire partie de l’accord qui a permis à Julian Assange de sortir libre de prison.

Les documents supprimés comprendraient un ensemble de courriels du Comité national démocrate (DNC) et d’autres documents liés à la campagne présidentielle d’Hillary Clinton. La date de cette suppression, qui coïncide avec la libération de M. Assange, a suscité des interrogations et des spéculations sur la nature de l’accord conclu avec le gouvernement américain.

Bien que les détails exacts de l’accord n’aient pas été divulgués, il est clair que la suppression de ces documents a constitué une concession importante de la part de WikiLeaks. Cela a conduit de nombreuses personnes à s’interroger sur les autres informations qui auraient pu être incluses dans les documents supprimés et sur les implications de cette décision en matière de transparence et de responsabilité.

Selon certaines sources, les documents supprimés auraient pu contenir des informations sensibles sur toute une série de sujets, notamment des fuites d’OVNI, un réseau de maltraitance d’enfants et même un projet de meurtre. Certains disent que sans accès aux documents originaux, il est impossible de vérifier ces affirmations. Cela dit, il ne faut pas ignorer le fait que ces documents ont été disponibles au téléchargement depuis des années, et se trouvent actuellement dans des dizaines de milliers d’ordinateurs à travers le monde.

Quoi qu’il en soit, la suppression de ces documents marque un moment important dans la saga de Julian Assange et de WikiLeaks. Il reste à voir quel sera l’impact sur l’avenir de l’organisation et sur son rôle dans la lutte pour la transparence et la justice.


22) Retour ou destruction des informations : « Avant que son plaidoyer ne soit inscrit au tribunal, le défendeur prendra toutes les mesures en son pouvoir pour assurer le retour aux États-Unis ou la destruction de toute information non publiée en sa possession, sous sa garde ou sous son contrôle, ou sous celui de WikiLeaks ou de toute société affiliée à WikiLeaks. Le défendeur convient en outre que, si l’obligation susmentionnée lui impose d’ordonner au(x) rédacteur(s) de WikiLeaks de détruire ces informations ou de faire en sorte qu’elles soient détruites, il fournira aux États-Unis (ou fera fournir aux États-Unis) une déclaration sous serment confirmant l’instruction qu’il a donnée et qu’il s’efforcera, de bonne foi, de faciliter le respect de cette instruction avant le prononcé de la sentence.« 

Accord de plaidoyer complet :

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