Lors d’un récent procès, l’agent du FBI Erika Jensen a témoigné, affirmant qu’aucune falsification n’avait été détectée sur l’ordinateur portable de Hunter Biden. Ce témoignage contredit les allégations antérieures de manipulation des données. La défense de Biden avait suggéré que certaines données publiées ne correspondaient pas à celles de l’ordinateur portable, insinuant ainsi leur inauthenticité. Cependant, Jensen a confirmé l’authenticité de l’ordinateur portable, appuyée par des données obtenues légalement via le compte iCloud de Hunter Biden. Cette confirmation renforce la crédibilité des informations contenues sur l’ordinateur portable.
Peu après que le New York Post a révélé l’histoire de l’ordinateur portable en 2020, la journaliste de CNN Natasha Bertrand a écrit le fameux article de Politico, aujourd’hui discrédité, qui a utilisé « des dizaines d’anciens responsables des services de renseignement » pour dire qu’il s’agissait de la désinformation russe.
CNN a également fini par admettre que « l’ordinateur portable de l’enfer » de M. Hunter était authentique plus de 500 jours après la publication de l’article initial, le 24 octobre 2020, en le qualifiant notamment de « désinformation russe » et d' »invention » à l’époque.
Le président Joe Biden et son attaché de presse ont également fait des déclarations inexactes sur l’origine de l’ordinateur portable…
L’affaire est « United States v. Hunter Biden, No. 24-1703 » devant la Cour d’appel des États-Unis pour le troisième circuit.
