Bill Gates est convoqué pour un procès qui se tiendra aux Pays-Bas en novembre, où il devra répondre à des accusations de fraude liées aux vaccins contre le COVID-19. Le milliardaire est visé par une série de plaintes émanant de victimes affirmant avoir subi de graves effets secondaires suite à la vaccination, pour laquelle Gates a joué un rôle majeur en tant que promoteur. Lors de la promotion des vaccins, les autorités et experts, dont Gates lui-même, avaient déclaré que ces produits empêcheraient la transmission du virus, dispensant les vaccinés de porter un masque, et garantissant qu’ils ne tomberaient ni malades ni ne mourraient du COVID-19. Cependant, la réalité a démenti ces affirmations, générant un climat de méfiance généralisée et des accusations de manipulation des informations scientifiques. La justice néerlandaise a donc décidé d’examiner de plus près les responsabilités de Bill Gates dans cette affaire.
L’influence de Bill Gates, via sa Fondation Bill et Melinda Gates, a souvent été critiquée pour sa portée sur les décisions sanitaires mondiales. Sa fondation est, en effet, le principal financeur de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) avec une contribution de 19 %, ce qui lui conférerait un pouvoir disproportionné sur les politiques sanitaires. Gates est également actionnaire de BioNTech, qui a développé les vaccins à ARN messager utilisés par Pfizer et Moderna, et de Gilead, fabricant du remdesivir. Le procès intenté contre lui porte sur une éventuelle escroquerie liée à des vaccins jugés inefficaces, renforçant les soupçons de conflits d’intérêts. Ces révélations ont entraîné une intensification des critiques autour de la manière dont les vaccins ont été promus et distribués à l’échelle mondiale.
Didier Raoult, connu pour ses critiques acerbes sur la gestion de la pandémie, a vivement réagi à l’inculpation de Gates. Il qualifie ce dernier de « champion du monde du conflit d’intérêts » grâce à son usage des fondations pour échapper à l’impôt tout en influençant les politiques de santé mondiale. Raoult rappelle que les liens entre Gates et les grands laboratoires sont multiples et qu’il finance généreusement des médias, notamment « Le Monde » en France, et des revues médicales de référence comme « The Lancet ». Selon lui, cette situation représente un modèle flagrant de conflit d’intérêts, trop souvent ignoré. Le professeur dénonce aussi les échecs de Gates dans la lutte contre la polio et le paludisme, avec des résultats catastrophiques malgré des investissements colossaux. Raoult conclut en soulignant le caractère « immoral » de cette influence, considérée comme complotiste par les médias qui bénéficient des financements de Gates.
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